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Ce tout petit livre (dix pages, texte de François David, illustrations de Anne Herbauts) est un hommage à Ottla Kafka, née en 1892, morte en 1942. Qui a lu le journal de son frère Franz ou les lettres qu’il lui a adressées sait qu’Ottla a été la sœur...
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Le consentement aux adieux La voiture de location glisse en douceur sur la route qui déroule son ruban à mes yeux fatigués. L’intérieur sent le neuf. L’impersonnel. Le locataire précédent a programmé Radio-Soleil sur le tableau de bord. J’ai éteint la...
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Bien que la forme d’un échange épistolaire me semble appropriée pour attirer l’intérêt des adolescents, j’ai trouvé que ce livre, publié en 1998, date un peu. En effet, essentiellement dans sa première partie, les deux adolescentes évoquent à de nombreuses...
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Pierre a 17 ans. Il a décidé de tenir un journal et de courir. Tenir un journal jusqu’au jour de sa mort programmée, courir pour transformer son corps trop gros. Pierre a un frère jumeau, Eric, mort il y a sept ans dans un accident de voiture lors d’une...
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Parmi toute l’œuvre d’Elie Wiesel que j’ai presque lue dans son intégralité, si j’ai une préférence pour les essais traitant des histoires hassidiques, l’œuvre romanesque « Le cinquième fils » a de loin ma préférence. En effet, il me semble qu’avec ce...
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Critique effectuée dans le cadre de Masse Critique – Merci à Babelio et aux Editions de la Martinière Jeunesse. Ce livre plus particulièrement destiné aux enfants (mais aussi à chaque adulte resté connecté à son enfance), se présente comme un poème graphique...
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Quatre étoiles, deux pour Mahler et deux pour Strauss, et pour ce livre qui n’intéressera que les fervents adeptes de l'un ou de l'autre, voire même des deux.Littérairement parlant, d'un point de vue stylistique, cette correspondance n'a guère d'intérêt....
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C'est le troisième roman que je lis - je devrais dire dévore - de Philip Roth, après "Que la bête meure" et "La tache". En 120 pages, Philip Roth m'a de nouveau happée par son art incroyable de portraitiste de l'âme humaine, l'acuité de son regard sans...
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Je n'ai pas pu aller au bout de ce livre que j'ai trouvé aussi léger qu'une Walkyrie dans un hélico de Coppola. J'emploie cet "humour" à dessein, car si une chose m'a gênée dans les soixante pages que j'ai péniblement lues, c'est bien l'ironie de l'auteur,...
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Une idée largement répandue par ceux qui ne l’ont pas lu fait de Michel Onfray un « déboulonneur d’idoles », n’ayant pour but philosophique que de détruire les grandes figures consensuelles, telles Freud ou Sartre pour ne citer que les plus représentatifs...